Par le passé, le terme romantique employé dans le contexte littéraire renvoyait systématiquement au roman. Mais ici, il s’agit moins du type de l’œuvre et plus de son genre. Les œuvres romantiques, comme on s’en doute déjà certainement, sont des œuvres dont la thématique centrale reste l’amour. Un sentiment vieux comme le monde, qui continue d’inspirer les auteurs, les musiciens, les artistes et qui continuera de les inspirer jusqu’à la fin des temps.
Mais, de nos jours, la littérature romantique a gagné en popularité. Certes, ce genre particulier n’a jamais été relégué au fond des tiroirs, mais il était parfois mal perçu d’en apprécier la lecture. D’autant plus que la limité n’était pas toujours soigneusement définie entre l’œuvre romantique et l’œuvre à caractère érotique. Aujourd’hui cependant, la littérature romantique est passée au-devant de la scène parce qu’elle s’accorde harmonieusement à n’importe quel genre et sous-genre qu’on daigne lui associer.
On pense notamment à « The Hunger Games » de Suzanne Colins ou « Divergent » par Veronica Roth. Des œuvres qui sont rangées dans la catégorie de science-fiction et plus précisément dans le genre de la dystopie, bien qu’il s’agisse clairement d’œuvres romantiques.
Mais, le genre romantique peut prospérer sans peine, sans avoir à être associé à d’autres genres. On peut par exemple citer les œuvres de John Green, auteur de « Nos étoiles contraires », « La Face cachée de Margo », ou encore « Le théorème des Katherine ». Des œuvres qui se sont vendues à plusieurs millions d’exemplaires et qui viennent emboîter le pas à la bibliographie d’auteurs comme Barbara Cartland ou Jude Deveraux.